1er constat :
Les déchets alimentaires comportent 80% d'eau
Le transport vers des usines d'incinération, d’enfouissement ou de compostage est un non-sens économique et écologique.
2eme constat :
La production de déchets alimentaires entraine des nuisances et des coûts internes indirects.
Mieux gérer ses déchets sur le site est une source d’économies internes.
Lutter contre le gaspillage en amont, mettre en place une politique de tri, éviter certains équipements inutiles et parfois, gagner de la place.
3eme constat :
La réglementation devient de plus en plus contraignante, générant une augmentation des coûts.
Le seuil visé à l'article R. 543-225 applicable aux déchets alimentaires
(obligation de tri et valorisation des biodéchets par le producteur)
• 2014 : 40 tonnes par an -> 3200 Kg par mois -> 150 kg /jour -> 850 couverts
Calculs réalisés sur la base de 175 grammes de déchets par couvert (chiffre fourni par L’Ademe comme étant la moyenne nationale en restauration collective).
Les producteurs de biodéchets ont maintenant l'obligation de trier à la source et de trouver des solutions pour collecter et valoriser leurs déchets.
(Grenelle II décret n°2011-828 du 11 Juillet 2011)
4eme constat :
Les déchets alimentaires constituent la base d’une double revalorisation.